Vannes, le 2 novembre 2020
En ce quatrième jour de l’acte 2, où tout conspire à une mise au tombeau collective, ce vol d’étourneaux me réjouit.
Nous, bretons, savons survivre aux marées noires et aux noirceurs du mois de novembre (miz du). C’est dans notre ADN. Confinement ou pas, la vie continue, « sur la terre comme au ciel ».
Bretagne, 2016 La photographie rend palpable ce qui dépasse la possibilité de voir. La pleine lumière est insoutenable pour l’oeil, nul regard […]
Bretagne, 2002 Ce fût comme un cadeau du ciel, un encouragement à poursuivre la cîme, la fine pointe de l’âme. Depuis je […]
Bretagne, 2002 Dans chaque être il y a un cosmos en devenir. Fragile comme un nouveau-né, comme un cheveux qui pousse en silence. […]
Bretagne, 2015 Si la photographie est écriture de lumière alors ne doit-elle pas être sous-tendue par une grammaire et une syntaxe ?Dans […]
